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À propos

Son prénom a les senteurs des meilleures fragrances et son nom nous emmène dans le Paris des artistes.

C’est que Patou Saint Germain possède à la fois l’exotisme de ses origines – elle est née à Pointe-à-Pitre – et la créativité des stylistes les plus réputés, n’hésitant pas à se frotter à des expériences sans cesse nouvelles et inspirantes.

Dans sa boutique de la rue Africaine (Parvis de la Trinité) à Saint-Gilles (Bruxelles), Patou crée pour la femme dans un souhait constant de faire ressortir la plus belle part de féminité de chacune d’elle. Le choix des formes et des matières ont pour seul objectif de sublimer son corps tout en conservant un aspect pratique et confortable.

Patou Saint Germain crée du prêt à porter (en direct ou sur mesure), des vêtements de soirée et de cérémonie, des robes de mariée… mais aussi des créations éphémères, des œuvres d’art ou encore, des robes en chocolat…

Patou Saint-Germain aime surprendre et fait jouer les différentes facettes de sa personnalité à travers son art.

Mais commençons par le commencement…

Patou Saint Germain est née en 1970 en Guadeloupe et vient s’installer en France métropolitaine avec ses parents à l’âge de deux ans. Elle grandit au sein d’une famille de six enfants. Dès son plus jeune âge, Patou confectionne des tenues pour ses poupées.

A quinze ans, elle décide de devenir styliste et réussit avec brio l’examen d’entrée de l’Ecole supérieure des Arts appliqués Duperré, la seule école publique de stylisme de Paris.

Elle plonge dans la mode comme on entre en religion. Pendant ses études, Patou travaille comme vendeuse chez Promod et y gagne le concours de jeunes créateurs. Promod l’engage immédiatement en tant que styliste junior. Rapidement propulsée styliste en chef, elle va beaucoup voyager pour « typer des produits »… Etats-Unis, Italie, Japon…

L’amour l’amène à Bruxelles où elle travaille durant une année chez Caroline Biss. Très vite, elle veut voler de ses propres ailes et, en 2001, se pose à l’ombre de l’église de la Trinité dans le quartier du Châtelain à Ixelles (Bruxelles). Patou y installe son atelier, dessine, crée, produit et laisse libre cours à son art.

Car c’est bien d’art dont il est question.

C’est là aussi qu’elle tient sa boutique, reçoit ses clientes, propose du sur-mesure et… offre le thé.

Une autre vision de la mode.

« J’ai toujours voulu révolutionner le monde de la mode. Le rapport de la femme au vêtement est très important. Il est son prolongement et reflète son état d’esprit du moment. Quand une femme dit, alors que sa garde-robe est pleine, « Je n’ai plus rien à me mettre », cela signifie qu’elle est une personne neuve ce jour-là et qu’elle veut autre chose que ce qu’elle possède déjà. Peu de maris le comprennent ainsi»

Je veux accompagner les femmes et leur donner un « outil » pour qu’elles se sentent à l’aise tout en étant séduisantes. Je me mets à leur service pour leur aspect esthétique mais j’y intègre toujours, bien sûr !, mon grain de sel. Par exemple, j’aime beaucoup la structure cœur croisé, il est enveloppant et dessine le corps. C’est confortable et féminin.

De l’histoire du costume à l’influence nippone

« En étudiant l’histoire du costume, on se rend compte que le non-dit était signifié dans le costume. Celui-ci remplaçait le langage à une époque où la femme n’avait pas souvent son mot à dire. »

C’est également du côté du Japon que Patou Saint Germain se sent attirée. Par Issey Miyake et ses formes conceptuelles, cette recherche de simplicité qui donne de la force.

« Je suis une Africaine d’Europe et comme de nombreux « déracinés », je poursuis une sorte de quête d’identité. » Cette recherche se retrouve dans ses créations qui mêlent l’Afrique et l’Occident, tant par les formes que par les matières.

Car chez Patou, les créations reposent avant tout sur les spécificités des matières qui les composent. Les idées et les modèles naissent des découvertes de tissus divers, de variantes de soies, de lins, de mailles, de basins.

« J’aime le dessin « Makeba »(*) et les lignes japonisantes comme des vestes cache-cœurs des kimonos. »

Le souci de la féminité et l’originalité du style servent de ligne conductrice pour la créations des modèles.

La mise en valeur du corps féminin, la recherche du vêtement adéquat et la disponibilité caractérisent également le travail de Patou.

(*) en référence à la chanteuse sud-africaine Miriam Makeba

Créations originales

Il faut sortir de sa zone de confort, chercher d’autres sources d’inspiration, se frotter à l’inconnu, se montrer sous d’autres aspects.

C’est ce que fait Patou lorsqu’elle crée, avec le chocolatier Laurent Gerbaud, ses surprenantes et audacieuses robes en chocolat pour le défilé du Salon du Chocolat.

Ou encore, lorsqu’elle crée une robe en cordes et son chapeau haut pour l’exposition City Doll à Bruxelles. Une œuvre d’art qui fut exposée devant la Gare centrale et vendue aux enchères pour une œuvre caritative.

Et demain ?

« Je veux continuer à montrer qu’il y a moyen de porter un vêtement autrement pour faire ressortir ce qu’il y a de plus beau de la Femme. Son corps, c’est un trésor. Il faut le chouchouter et le mettre en lumière. Ce qui me fait le plus plaisir ? C’est de voir le visage d’une femme changer lorsqu’elle met une robe… Il s’illumine !
Patou Saint Germain
Rue Africaine 96 – 1060 Bruxelles
Tél. : 02/538 06 26
GSM : 0496/10.76.17
Mail : patou@patousaintgermain.be

Service de presse:
Patricia Raes (Par Hasard scri)
Tel. : 0476/34.42.04
Mail : patriciaraes@scarlet.be